Dans le district de Shashe, situé dans la province sèche de Masvingo au Zimbabwe, les femmes ont montré une résilience remarquable face à des conditions climatiques difficiles. Elles ont adopté des pratiques agroécologiques pour lutter contre les effets néfastes du changement climatique et garantir la sécurité alimentaire pour leurs familles et leurs communautés.
L'agroécologie implique des pratiques agricoles durables qui œuvrent avec la nature pour améliorer la santé des sols, conserver l'eau et augmenter la biodiversité. Les femmes de Shashe ont adopté des techniques telles que le non-labour, qui minimise la perturbation du sol, et l'utilisation de cultures résistantes à la sécheresse comme le sorgho, le mil et le niébé.
Ces pratiques aident à maintenir la fertilité du sol et réduisent le besoin d'intrants chimiques, rendant l'agriculture plus durable et nécessitant beaucoup moins en matière de main-d'œuvre.
De plus, la communauté a établi l'École d'Agroécologie de Shashe, où les agricultrices partagent des connaissances et apprennent sur la collecte des eaux, la souveraineté des semences et la gestion organique des sols.
L'agroécologie implique des pratiques agricoles durables qui œuvrent avec la nature pour améliorer la santé des sols, conserver l'eau et augmenter la biodiversité. Les femmes de Shashe ont adopté des techniques telles que le non-labour, qui minimise la perturbation du sol, et l'utilisation de cultures résistantes à la sécheresse comme le sorgho, le mil et le niébé.
Ces pratiques aident à maintenir la fertilité du sol et réduisent le besoin d'intrants chimiques, rendant l'agriculture plus durable et nécessitant beaucoup moins en matière de main-d'œuvre.
De plus, la communauté a établi l'École d'Agroécologie de Shashe, où les agricultrices partagent des connaissances et apprennent sur la collecte des eaux, la souveraineté des semences et la gestion organique des sols.